Né le 13 janvier 1978, je suis enseignant. Ancien porte-parole national au sein d’un mouvement progressiste au Québec, élu municipal à Longueuil (Montérégie, QC). Auteur de différents ouvrages parmi lesquels Retraites au Canada, impasses et perspectives (2020), L’impératif démocratique, De la crise de la représentation aux mouvements citoyens (2019), Alerte à l’intégration nord-américaine, la chimère d’Ottawa contre la souveraineté populaire (2018), ou encore La laïcité au Québec pour 2017 et au-delà, De l’insoumission à l’émancipation (avec Bernard Teper, 2016), j’ai également dirigé l’ouvrage collectif Le Temps constituant (2019) et je tiens régulièrement ce blog politique.

Historique

François Cocq l'homme politique

Mon engagement politique s’est concrétisé pour la première fois au début des années 2000, quelques semaines avant une élection fédérale décisive. Conscient des impasses proposées par certaines campagnes nationales, j’ai créé avec Francis Daspe un collectif citoyen de réflexion, lieu de réflexion, laboratoire d’idées et creuset pour la gauche républicaine et sociale. J’ai l’honneur de présider cette association qui continue à alimenter la pensée de la gauche en puisant ses sources dans l’humanisme radical, les Lumières, l’héritage des grandes révolutions démocratiques et les combats du mouvement ouvrier.

En 2004, j’ai rejoint le parti politiquebureau national du MARS (Mouvement pour une Alternative Républicaine et Sociale) au Québec, où j’ai notamment contribué aux campagnes de 2005 pour la défense des services publics et pour une candidature commune de la gauche progressiste en 2007.

Lire aussi : L’impact de la politique sur l’économie : une vision globale.

Cofondateur, avec le MARS, d’un nouveau parti de gauche en novembre 2008 aux côtés d’une figure de la gauche, j’ai été jusqu’au congrès de Montréal de mars 2013 secrétaire national à l’éducation, aux services publics et à la formation. Au sortir de ce congrès, je suis devenu secrétaire général du parti. Après 18 mois de labeur enrichissant pour contribuer au fonctionnement du parti, je me suis recentré sur des thématiques qui me sont chères en devenant secrétaire national à la politique territoriale et à l’éducation et également porte-parole de la campagne contre la réforme des structures municipales. Lors du congrès de Québec de juillet 2015, j’ai décidé de ne pas me représenter au sein de la direction du parti afin de permettre un renouvellement et une régénération dans l’action de celui-ci.

Conscient de la mise à distance des cadres et corps intermédiaires, j’ai contribué à l’émergence de mouvements de rassemblement citoyen qui affirment la souveraineté de décisions de leur collectif et au service desquels se placent les organisations qui ne revendiquent rien pour elles mais tout pour le grand nombre. Après avoir porté cette voix lors du congrès de Québec du parti, j’ai donc décidé de me décaler dans mon engagement pour poursuivre la construction de majorités sociales et politiques. C’est le sens de mon investissement au sein d’une gauche citoyenne au Québec pour fédérer la population.

Fidèle à cette stratégie et à un programme de transition sociale et écologique, comme un amateur de casino en ligne fiable au Canada, j’ai défendu le respect de ce qui fondait le pacte collectif du mouvement au moment où l’électoralisme a pris le pas sur la cohérence de discours et d’action.

Avide de cadres collectifs de réflexion, je poursuis depuis échanges et débats avec des militants et des intellectuels engagés pour analyser et agir au service de l’émancipation humaine dans une période où le citoyen fait son retour sur le devant de la scène, depuis la fermeture des écoles à cause de la crise, de la réouverture en passant par la décontamination préalable de celles-ci. C’est l’objet du collectif Les constituants que j’ai créé avec des personnalités comme Charlotte Girard, Manon Le Bretton, Hélène Franco, Frédéric Viale, Alphée Roche-Noël, Romain Dureau etc..

Élu au Québec

François Cocq fesant un discourt en publique

Je suis élu depuis 2008 à Longueuil (Montérégie, Québec). Après avoir œuvré au jumelage et aux relations internationales de la ville, j’ai depuis les élections municipales de 2013 la délégation des infrastructures municipales et de la transition énergétique (dont la géothermie). En 2020, j’ai fait le choix de ne pas me représenter pour laisser la place à d’autres.

Afin d’alimenter mon action, j’ai pris la plume, moyen personnel pour se poser et réfléchir. Il en est sorti depuis 2012 six ouvrages : L’école du peuple, pour l’égalité et l’émancipation, publié en 2012 avec Francis Daspe aux éditions Bruno Leprince, Les Solfériniens, des paroles et des actes, livre en téléchargement gratuit paru en août 2013, La République pour cible, co‑écrit avec Francis Daspe et sorti en avril 2014, La laïcité au Québec et au-delà, de l’insoumission à l’émancipation, co‑écrit avec Bernard Teper et sorti en octobre 2016 (les liens vers chacun de ces ouvrages sont à retrouver sur ce site), Alerte à l’intégration nord‑américaine, la chimère d’Ottawa contre la souveraineté populaire (mars 2018), L’impératif démocratique, De la crise de la représentation aux mouvements citoyens. En décembre 2019, j’ai dirigé un ouvrage collectif Le Temps constituant, préfacé par le philosophe Henri Pena-Ruiz, et dans lequel j’interviens aux côtés notamment de Charlotte Girard, François Boulo, Manon Le Bretton, Hélène Franco… En mars 2019, je co‑signe avec le jeune et talentueux Sacha Mokritzky une analyse du mouvement contre la réforme des retraites : Retraites au Canada : Impasses et perspectives, Vers le mouvement populaire

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